
Bénédicte, 28 ans a une étiquette "asperger"
Une praticienne Sésame témoigne : “Voici ce que j’ai vécu avec Bénédicte, fille d’amis étiqueté asperger. Malgré les sollicitations de ses parents, elle passe le plus clair de son temps chez elle avec ses chats et ses sudokus. Enfant, on lui a mis l’étiquette “Asperger”, de la famille de l’autisme. Depuis toujours, elle reste le plus souvent très en retrait et disparaître surtout quand on vient la chercher chez elle pour la conduire à un entretien d’embauche.
Or un jour d’été, elle vient me voir à mon cabinet : “Je dois chercher un emploi”. Du coup, je l’initie à Sésame. Voilà que trois jours plus tard, je reçois un SMS : “C’est fait”. J’appelle : ” – Bonjour Bénédicte, qu’est-ce qui “est fait” ? – J’ai envoyé 3 lettres de candidature. – Super ! Tu me donneras des nouvelles !”
Or, deux mois plus tard, je passe chez eux. Et il se trouve que Bénédicte est seule à la maison et m’ouvre la porte : “- Bonjour Bénédicte ! Ça va ? – Oui. – Et tes candidatures, tu as eu des réponses ? – Je commence demain chez un telle grosse entreprise. – Et les autres lettres, elles ont eu quel écho ? – Ils m’ont aussi fait des propositions, mais elles étaient moins intéressantes. – Super !”
Finalement, l’entreprise embauche Bénédicte à la fin de la période d’essai. Très vite elle fait partie de l’équipe sportive de l’entreprise. Depuis, ses collègues l’emmènent à tous les événements sportifs de la région. Et elle s’entraine en semaine très régulièrement avec eux. Encore incroyable quelques mois plus tôt, elle apporte des gâteaux maison les jours d’anniversaire de ses collègues. Cette année, elle a passé ses vacances sans sa famille. Ses parents disent qu’elle a beaucoup changé et les surprend par son ouverture ces temps-ci (qui durent depuis maintenant plus de trois ans…).”
La résolution émotionnelle Sésame
Notre corps sait cicatriser nos plaies. Il sait digérer. Il fait cela de lui-même. Et si on cherche à l’aider ou à suivre ce qu’il fait les choses se gâtent : si on soulève la croûte pour voir où en est la cicatrisation, le saignement reprend. Mieux vaut donc le laisser faire.
De même, notre corps sait aussi déraciner nos inconforts d’ordre émotionnels qui se répètent. Car nous sommes résilients. Notre résilience fonctionne pour tous nos besoins, tous nos inconforts, qu’ils soient physiologiques, physiques, émotionnels, comportementaux… Nous pouvons la mobiliser volontairement quand nous avons un problème qui se répète, ce qui arrive quand quelque chose s’est bloqué à un moment traumatique.
À partir des découvertes scientifiques, en particulier en neurosciences, et des savoirs ancestraux, Sésame propose une procédure très proche de ce qui est tout à fait naturel. Cette procédure permet au corps de mobiliser très simplement sa résilience. Elle conduit à la racine de l’inconfort : une peur très ancienne ancrée dans la sensations corporelles.
Sésame conduit dans le corps. Le corps constate alors que ces sensations ne sont plus dangereuses aujourd’hui. Ce constat l’amène à débrancher l’alarme-inconfort qu’il avait installée. Il s’en débarrasse, comme il le fait de tout ce qui ne lui est pas utile.
La résolution émotionnelle a lieu dans et par le corps. Notre mental aura beau tenter de comprendre, il ne pourra pas. Car le mental et le corps ne parlent pas la même langue. Il faudra donc pratiquer pour faire l’expérience de ce qui se passe et de comment ça fait.
Cette capacité naturelle est universelle et accessible à tous. Elle ne demande aucune prédisposition particulière.
Sésame est très simple, parce que très proche de processus naturels.